OhaiMe-Passion, l'actualité de l'OM

Nous y voilà les aminches, cette fameuse 36ème journée de championnat sur laquelle tout le monde lorgne sans oser la nommer. Hier soir, Bordeaux s'est plus que difficilement (et là je me gausse en repensant à tous ceux qui parlait de match "donné" pour les Girondins) face au Mans trois buts à deux. Sans être un atrophié du bulbe et encore moins un Bac + 54, l'évidence s'impose. Crois-moi lecteur il est des choses comme ça dans la vie qui s'imposent, ton salaire en fait partie, mais la vérité du jour n'est pas forcément celle du lendemain ! Tu suis ou la maison Akatpat' te fournis un déambulateur que même à la dixième crémation la Sangria est offerte ? Non ne t'inquiète pas lecteur, ça n'a rien à voir avec le sujet dont il est précisément question en ce jour de repos dominical, mais ça comble l'espace...

J'ai encore en tête ce 22 mai 1999 où les larmes de joie contenues sont passées à celles pour le coup absolument inarrêtables du désespoir. Infini... Le titre ne s'est pas perdu ce soir là au Parc des Princes alors que l'OM gagnait à la Beaujoire, mais 17 jours auparavant quand les Phocéens trouvent le moyen de s'incliner 2-1 dans l'enceinte du XVIème arrondissement de la capitale alors qu'à dix minutes du terme...

Bref, faisons table rase du passé (si tant est qu'on le puisse) et focalisons-nous sur cet OM-Lyon qui promet tant. Pourquoi ? Parce que l'Olympique de Marseille n'a jamais été aussi sûr de son fait, bien qu'au Vél' ce soit un peu la gueule à Maurice. Parce que depuis 2002, jamais Lyon n'a semblé si prenable. Parce qu'enfin si passation de pouvoir il doit y avoir, c'est ce soir...

A partir de 21 heures, au stade Vélodrome. Une petite phrase valant définitivement mieux qu'un trop long discours, je laisse le mot de la fin à Toni Montana : "La pression les gars, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, aaaaaaaaaaaah, sifflez les gars, sifflez !"

Parce que ce soir, l'Ohème aura besoin de tous ses supporters. Sans états d'âme, Eric...