OhaiMe-Passion, l'actualité de l'OM

C'est l'histoire d'un mec, tous les deux ans, il se pointe en sauveur de la veuve et de l'orphelin dans un nouveau club. Il est beau, il présente bien, il sait parler à la télé et des fois... ben des fois ça marche, et puis des fois ça marche pas. 



Le mec s'appelle Michel, et c'est le mari de Jacquie. Du moins, c'est ce qu'on en déduit aux films de cul que lui et son équipe nous propose régulièrement en direct et à des heures de grande audience. Parce que se faire enfiler comme ça, y a un moment, faut être payé pour, c'est pas possible autrement !

Au début, on se disait "c'est le temps de l'adaptation, il est arrivé dans des conditions pas évidentes, toussa". Puis on a évoqué des viols : l'arbitrage, la LFP, les autres qui font rien qu'à nous embêter...
Mais au final, quand on se décide à jouer seulement après la 80ème minute, c'est qu'on est un chouïa consentant, non ?

Bref, ce sera encore un résumé en trois lignes.

Première mi-temps : rien.

Seconde mi-temps : sur deux contres en trois occasions, Braga, qui n'a pas sorti l'artillerie lourde non plus, double la mise (61ème, par Hassan ; 78ème, par Eduardo).
A partir de là, les Olympiens se réveillent et égalisent en deux temps (84ème, Alssandrini ; 87ème, Michy)... pour mieux se faire surprendre juste avant les arrêts de jeu (89ème, Alan).

En clair, tout s'est joué, de part et d'autre, en moins d'une demi-heure.

Le point positif, c'est se dire qu'on est cap' de marquer deux buts à l'extérieur à l'équipe la moins facile du groupe alors qu'on joue en tongs tout en prenant l'apéro. le point négatif, c'est constater qu'on joue en tongs tout en prenant l'apéro : normalement, ce privilège est réservé aux supporters...