OhaiMe-Passion, l'actualité de l'OM

Après un début de saison bien plus qu'encourageant, l'OM devait vaincre Le Mans, une des équipes en forme de ce début de championnat, par au moins deux buts d'écart pour conserver la place de leader. Mission accompli grâce à notamment un très bon coaching de la part d'Albert Emon.

La première demi-heure est assez équilibré mais les occasions les plus chaudes sont mancelles... Et c'est pourtant l'OM qui ouvre le score à la 32e minute grace à un but de Niang. Le vélodrome explose mais se rend vite compte que le but est refusé. En effet Mamadou Niang avait à priori frapper dans le ballon alors que Pelé l'avait bloqué dans les mains... Mr Moulin refusait donc ce but qui aurait pourtant fait tant de bien à une équipe marseillaise pas aussi rayonnante que face à Auxerre. Les phocéens retournent donc aux vestiaires à égalité.

A la reprise, aucun changement effectué. Le Mans n'est plus aussi vif et l'OM commence à prendre le jeu à son compte, néanmoins les attaquants phocéens ne trouvent pas la faille. L'entraîneur marseillais fait donc un double changement avec les entrées de Nasri et de Bamogo à la place de Pagis et Maoulida. Quelques sifflets s'élèvent du vélodrome jusqu'à la 70e minute où le double-changement va s'avérer payant. Effectivement, c'est Nasri qui sert Bamogo à la limite du hors-jeu, tous les deux fraîchement rentrée en jeu il y a quelques minutes. Bamogo libère alors le vélodrome grace à un tir du pied gauche qui trompe Pelé. Il signe là son premier but de la saison. Sept minutes plus tard, Niang obtient un pénalty grâce à un tacle de Cerdan. "L'OM va marquer, et nous allons gagner" chante alors le vélodrome, qui ne se trompe pas puisque Niang sur pénalty double la mise. Il reste donc 10 minutes aux manceaux pour égaliser face à une équipe qui n'a encaissé aucun buts jusqu'à maintenant... 10 minutes qui ne suffiront pas, l'OM s'impose 2-0 grâce à Bamogo et Niang. Toujours invaincu, l'OM se place à la tête du championnat à égalité de point avec Lyon, mais avec un goal-average supérieur...

"Pourvu que ça dure !"