OhaiMe-Passion, l'actualité de l'OM

Mardi 01 Novembre 2011 à 20H45, la 4ème Journée de Ligue des Champions opposera dans le groupe F Arsenal FC à l'Olympique de Marseille, dans la mythique enceinte de l'Emirates Stadium (60 355 places).



Le club du plus célèbre Alsacien de la planète est fondé le 1er mai 1886 sous le nom de Dial square FC, par des ouvriers de la manufacture d'Armes Royale d'Arsenal située à Woolwich, à l'Est de La Capitale anglaise. Il devient le Arsenal Football Club, club professionnel since 1891. Arsenal, qui se singularise par son record de nombre de saisons disputées en Premier League, n'a jamais été champion d'Europe.

Son actuel Président, Pierre Collinenbois (Peter Hill-Wood pour nos rares lecteurs anglophones), en place depuis 1982, fait confiance à Arsène Wenger depuis 1996. Ce dernier a fait d'Arsenal le 21ème club de Ligue 1 : un genre de club français délocalisé sur le sol de la perfide Albion.

Perfide ? Certainement, si l'on en juge aux dernières déclarations du coach qui annonce clairement la couleur : "Je mise sans hésiter sur Ramsay", celui-là même qui nous a causé un vrai cauchemar dans les cuisines du Vel' il y a 15 jours : humilité et vengeance, toussa-toussa !

Justement, l'humilité et l'esprit de revanche, sinon de vengeance, devront être les maîtres-mots des hOMmes de Didier Deschamps.

Des Olympiens qui, après un début de saison périlleux, profitent avec l'opportunisme qui sied aux grands d'un calendrier favorable pour engranger les victoires, les points et la confiance.

Et la confiance, c'est l'une des clés, dans un match de C1.

Après faut pas rigoler non plus, on joue Arsenal... Eux-mêmes auteurs d'un début de saison catastrophique, mais bien revenus ces derniers temps et joyeusement victorieux de Chelsea lors du derby de ce week-end en Premier League - soit un Grand club, qui a d'autant moins à perdre qu'il est désormais premier du groupe.

Cependant la qualif' reste à la portée des Olympiens. Il suffirait d'un petit nul : un point, juste un point avant le déplacement à Dortmund et la réception de l'Olympiakos. Bien-sûr, une victoire ne serait pas de refus, mais il faut savoir se contenter de ce qu'on peut : c'est parfois l'étape qui permet de toucher du doigt les étoiles.