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OM 3-1 Rennes
Le Titre, souvenirs de supporters
Le Jeudi 05 Mai 2016 par OhaiMe-Passion
C'était il y a six ans. Six ans déjà que Didier Deschamps ramenait, pour la première fois depuis 17 ans, l'hexagoal là où est sa vraie place : à Marseille.
Six ans que l'on n'a plus connu telle liesse au stade Vélodrome et sur le Vieux-Port.
Six ans, le temps des souvenirs, que quelques supporters ont bien voulu partager avec nous, avec vous.
C'est Ezio qui ouvre le bal en racontant : "Supporter de ce club depuis ma naissance, bercé par les victoires de l'ère Waddle, Papin et autres Barthez et Di Méco, je me souviens de ces années 2000 compliquées pour tous les amoureux du maillot ciel et blanc... avec une finale Drogbatesque en 2004...
Je me rappelle aussi l'arrivée d'un entraîneur sorti du chapeau, d'origine belge, comme l'illustre Raymond-la-Science : nous étions en train de rebâtir en équipe de gagnants. Puis la fin de l'épopée Diouf qui nous avait remis dans le droit chemin...
Mais pour cultiver la gagne, qui d'autre que Monsieur Didier Deschamps ? Les plus anciens s'en souviennent : la finale à Munich et un titre, A Jamais les Premiers, inscrit pour toujours dans nos mémoires. L'Europe parlait à ce moment-là Marseillais !
Et en 2010, enfin, on retrouve une équipe, une âme, un titre, une coupe, gravés à jamais dans les mémoires des supporters qui ont subi la gestion calamiteuse de notre club au début des années 2000, ceux qui ont connus la relégation, ceux qui ont connus une équipe imbattable, de Skoblar à Papin, de Mozer à Déhu, en passant par Heinze et Niang...
J'ai pleuré, comme quand mon enfant naîtra. Car ce jour-là, j'ai compris que Mon Ohaime ne mourrait jamais..."
Plus prosaïque, Nikko explique :
"J'ai fini trop saoûl, plus trop de souvenirs...
Tout ce que je peux dire c'est que j'avais vu le match contre Rennes dans un bar qui s'appelle Le Parisien. Ça s'invente pas..."
Moishe évoque lui aussi une bonne cuite, et un double souvenir :
"Mon troisièmes fils venait de naître, le 27 avril... 8 jours plus tard, re-énorme cuite... et chambrage des collègues fan du PSG le lendemain, évidemment !"
L'ami Romain, enfin, repense aussi à Furiani. C'était un autre 5 mai, moins marrant pour tout le monde ! (voir ici et ici)
"Comme beaucoup, j'ai vécu les deux 5 mai. Et les deux avec ma cousine.
Bastia, Furiani, j'étais minot, genre sept ou huit ans, je ne comprenais pas ce qu'il se passait : de l'arrière-pays héraultais, j'attendais juste que le match commence devant la télé...
Le second 5 mai, celui du titre, c'était l'année où j'ai repris un abonnement, ma première année chez les Dodgers Bédarieux.
On était arrivés en J9 et on avait senti de suite qu'on allait être champions, Lyon s'était fait accrocher au match de l'après-midi, la voie était royale. Pourtant, on menait, mais Briand nous avait refroidis... sans fêter son but, d'ailleurs, genre "Merde ! J'ai fait une connerie, qu'est-ce qu'il m'a pris, voilà, mon transfert à l'OM est niqué !"
Puis Niang avait délivré tout un peuple...
Gorge serrée, difficile de chanter... et dans la foulée, Lucho m'a fait asseoir en pleurs après que j'ai exulté avec ma femme, ma cousine et le reste de la section.
Pour l'anecdote, c'était la première fois que ma femme m'a vu pleurer... et c'était pour l'OM !
Rien que d'en reparler, six ans après... les frissons ! Comme pour chaque titre..."
N'hésitez pas à venir échanger vos souvenirs de ce 5 mai 2010 sur le forum !
Six ans que l'on n'a plus connu telle liesse au stade Vélodrome et sur le Vieux-Port.
Six ans, le temps des souvenirs, que quelques supporters ont bien voulu partager avec nous, avec vous.
C'est Ezio qui ouvre le bal en racontant : "Supporter de ce club depuis ma naissance, bercé par les victoires de l'ère Waddle, Papin et autres Barthez et Di Méco, je me souviens de ces années 2000 compliquées pour tous les amoureux du maillot ciel et blanc... avec une finale Drogbatesque en 2004...
Je me rappelle aussi l'arrivée d'un entraîneur sorti du chapeau, d'origine belge, comme l'illustre Raymond-la-Science : nous étions en train de rebâtir en équipe de gagnants. Puis la fin de l'épopée Diouf qui nous avait remis dans le droit chemin...
Mais pour cultiver la gagne, qui d'autre que Monsieur Didier Deschamps ? Les plus anciens s'en souviennent : la finale à Munich et un titre, A Jamais les Premiers, inscrit pour toujours dans nos mémoires. L'Europe parlait à ce moment-là Marseillais !
Et en 2010, enfin, on retrouve une équipe, une âme, un titre, une coupe, gravés à jamais dans les mémoires des supporters qui ont subi la gestion calamiteuse de notre club au début des années 2000, ceux qui ont connus la relégation, ceux qui ont connus une équipe imbattable, de Skoblar à Papin, de Mozer à Déhu, en passant par Heinze et Niang...
J'ai pleuré, comme quand mon enfant naîtra. Car ce jour-là, j'ai compris que Mon Ohaime ne mourrait jamais..."
Plus prosaïque, Nikko explique :
"J'ai fini trop saoûl, plus trop de souvenirs...
Tout ce que je peux dire c'est que j'avais vu le match contre Rennes dans un bar qui s'appelle Le Parisien. Ça s'invente pas..."
Moishe évoque lui aussi une bonne cuite, et un double souvenir :
"Mon troisièmes fils venait de naître, le 27 avril... 8 jours plus tard, re-énorme cuite... et chambrage des collègues fan du PSG le lendemain, évidemment !"
L'ami Romain, enfin, repense aussi à Furiani. C'était un autre 5 mai, moins marrant pour tout le monde ! (voir ici et ici)
"Comme beaucoup, j'ai vécu les deux 5 mai. Et les deux avec ma cousine.
Bastia, Furiani, j'étais minot, genre sept ou huit ans, je ne comprenais pas ce qu'il se passait : de l'arrière-pays héraultais, j'attendais juste que le match commence devant la télé...
Le second 5 mai, celui du titre, c'était l'année où j'ai repris un abonnement, ma première année chez les Dodgers Bédarieux.
On était arrivés en J9 et on avait senti de suite qu'on allait être champions, Lyon s'était fait accrocher au match de l'après-midi, la voie était royale. Pourtant, on menait, mais Briand nous avait refroidis... sans fêter son but, d'ailleurs, genre "Merde ! J'ai fait une connerie, qu'est-ce qu'il m'a pris, voilà, mon transfert à l'OM est niqué !"
Puis Niang avait délivré tout un peuple...
Gorge serrée, difficile de chanter... et dans la foulée, Lucho m'a fait asseoir en pleurs après que j'ai exulté avec ma femme, ma cousine et le reste de la section.
Pour l'anecdote, c'était la première fois que ma femme m'a vu pleurer... et c'était pour l'OM !
Rien que d'en reparler, six ans après... les frissons ! Comme pour chaque titre..."
N'hésitez pas à venir échanger vos souvenirs de ce 5 mai 2010 sur le forum !
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