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#Rétro : François Bracci, le grand Tchoi !
Le Mardi 24 Janvier 2017 par Samuel Massilia
François Bracci a contribué pendant une dizaine d'années à écrire les plus belles pages de l'histoire du club Marseillais. Après un court séjour à Strasbourg et Bordeaux, le grand « Tchoi » est revenu en 1982 dans son club d'origine, afin d'y achever sa carrière.
Ce joueur n'avait pas le dribble magique du Suédois Magnusson ni la frappe foudroyante de Skoblar et encore moins l'ondoyante allure du Brésilien Paulo Cézar.
Équipier modèle, travailleur infatigable, il était tout simplement le prototype de l'anti-vedette. Lorsqu'il démarrait balle aux pieds, ses longues enjambées surmontées d'un buste qui n'en finit pas lui donnaient quelque peu l'apparence d'un échassier qui prenait son envol.
Mais le grand « Tchoi » n'hésitait jamais à plonger au coeur des mêlées les plus chaudes devant les buts. Si quelques ingrats lui manifestèrent leur déception de le voir évoluer un temps en milieu de terrain, il a reconquis le public à son poste de prédilection, figurant parmi les plus méritants de ceux qui ont contribué à la fin des années 80 au renouveau du club.
François Bracci a toujours admiré ceux qui lui étaient supérieurs, comme Marius Trésor ou Georges Bereta. Avec 18 capes à son actif, il regrette aujourd'hui encore de ne pas avoir été sélectionné dans les vingt-deux du Mondial 82 en Espagne.
Ce joueur n'avait pas le dribble magique du Suédois Magnusson ni la frappe foudroyante de Skoblar et encore moins l'ondoyante allure du Brésilien Paulo Cézar.
Équipier modèle, travailleur infatigable, il était tout simplement le prototype de l'anti-vedette. Lorsqu'il démarrait balle aux pieds, ses longues enjambées surmontées d'un buste qui n'en finit pas lui donnaient quelque peu l'apparence d'un échassier qui prenait son envol.
Mais le grand « Tchoi » n'hésitait jamais à plonger au coeur des mêlées les plus chaudes devant les buts. Si quelques ingrats lui manifestèrent leur déception de le voir évoluer un temps en milieu de terrain, il a reconquis le public à son poste de prédilection, figurant parmi les plus méritants de ceux qui ont contribué à la fin des années 80 au renouveau du club.
François Bracci a toujours admiré ceux qui lui étaient supérieurs, comme Marius Trésor ou Georges Bereta. Avec 18 capes à son actif, il regrette aujourd'hui encore de ne pas avoir été sélectionné dans les vingt-deux du Mondial 82 en Espagne.
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