Actualité
OM 1-0 Reims
Une victoire pour Steve !
Le Samedi 07 Mai 2016 par Bab Joo
Il aura donc fallu près de huit mois, 237 jours exactement, pour que l'OM renoue enfin avec la victoire dans son jardin. Un stade Vélodrome aux trois-quarts vide, privé de son public pour cause de huis-clos partiel. Mais des supporters qui ont tout de même tenu à répondre présents et qui ont animé à leur façon les abords du stade, déterminés à saluer coûte que coûte leur Capitaine qui jouait probablement pour la dernière fois au Vel' sous les couleurs olympiennes.
Dominateurs d'un bout à l'autre de la rencontre, les Marseillais n'ont pourtant une fois encore guère enthousiasmé, se contentant du strict minimum qui leur a si souvent jouer de mauvais tours cette saison : choc psychologique ou pas, il est plus difficile de perdre les mauvaises habitudes qu'en gagner de bonnes...
Après la désormais traditionnelle minute de silence en hOMmage aux victimes de Furiani et le coup d'envoi fictif donné par Michel Hidalgo, c'est Reims qui lance les hostilités sans s'encombrer de formules de politesse, à l'image de Devaux qui aurait pu prendre une biscotte d'entrée pour sa charge irrégulière sur Fletcher (2ème). Rien, estime l'arbitre qui laisse les champenois jouer.
Conte réussit un bon centre pour Diego, libre de tout marquage. Sa tête échoue de peu sur la droite de Mandanda (3ème) !
Pas découragés, les Rémois en remettent une couche par De Préville, mais cette fois-ci, c'est sans danger pour le Capitaine olympien (4ème).
A partir de cet instant, et malgré quelques velléités, le Stade de Reims ne parviendra plus à inquiéter les provençaux dans cette première période. Ces derniers monopolisent le ballon et Fletcher, très disponible et toujours bien placé, créé ou se créé de nombreuses situations intéressantes, mais l'imprécision marseillaise a une nouvelle fois raison de son efficacité.
Que d'occasions manquées !
C'est sous les sifflets d'un public clairsemé que l'OM rentre au vestiaire tandis que sur le parvis, on fête la Saint Fumi !
Le retour de la pause part sur les mêmes bases que la première mi-temps : l'OM domine, sans éblouir, des rémois qui ne déméritent pas mais ne sont clairement pas au niveau.
La supériorité marseillaise est logiquement et enfin récompensée peu avant l'heure de jeu par Michy, qui soigne ses statistiques et, avec 17 buts, accroche la quatrième place au rang des meilleurs buteurs de L1, à égalité avec Hatem Ben Harfa et deux petites unités d'Edinson Cavani.
OM 1-0 SdR (57ème)
Malgré de belles occasions franches de la part de l'OM et un total de 21 tirs, le score en restera là, avec notamment deux buts refusés à Michy pour un contrôle estimé irrégulier (65ème) et une situation de hors-jeu d'ailleurs très limite (90 + 1).
Dans les dernières minutes, le Stade de Reims, qui connaît peut-être à présent le résultat de Toulouse, qui signifie presque à coup-sûr la relégation, se montre plus offensif. mais le réveil survient trop tard, l'OM peut souffler... un peu trop tôt au goût de Nicolas Rainville qui biscotte Steve Mandanda pour gain de temps (89ème).
Un cadeau d'adieu, en quelques sortes, pour El Fenomeno qui, pour son dernier match au stade vélodrome, conserve ses cages inviolées.
Avec cette victoire, l'Olympique de Marseille ne peut plus espérer un meilleur classement que la neuvième place, qui dépendra évidemment aussi des résultats de ses adversaires lors de l'ultime journée de cette saison définitivement oubliable.
Reste un match pour s'inscrire dans la bonne dynamique avant d'aller affronter les parisiens à Saint Denis en finale de Coupe de France, sachons saisir cette dernière chance de ne pas tout perdre !
Dominateurs d'un bout à l'autre de la rencontre, les Marseillais n'ont pourtant une fois encore guère enthousiasmé, se contentant du strict minimum qui leur a si souvent jouer de mauvais tours cette saison : choc psychologique ou pas, il est plus difficile de perdre les mauvaises habitudes qu'en gagner de bonnes...
Après la désormais traditionnelle minute de silence en hOMmage aux victimes de Furiani et le coup d'envoi fictif donné par Michel Hidalgo, c'est Reims qui lance les hostilités sans s'encombrer de formules de politesse, à l'image de Devaux qui aurait pu prendre une biscotte d'entrée pour sa charge irrégulière sur Fletcher (2ème). Rien, estime l'arbitre qui laisse les champenois jouer.
Conte réussit un bon centre pour Diego, libre de tout marquage. Sa tête échoue de peu sur la droite de Mandanda (3ème) !
Pas découragés, les Rémois en remettent une couche par De Préville, mais cette fois-ci, c'est sans danger pour le Capitaine olympien (4ème).
A partir de cet instant, et malgré quelques velléités, le Stade de Reims ne parviendra plus à inquiéter les provençaux dans cette première période. Ces derniers monopolisent le ballon et Fletcher, très disponible et toujours bien placé, créé ou se créé de nombreuses situations intéressantes, mais l'imprécision marseillaise a une nouvelle fois raison de son efficacité.
Que d'occasions manquées !
C'est sous les sifflets d'un public clairsemé que l'OM rentre au vestiaire tandis que sur le parvis, on fête la Saint Fumi !
Le retour de la pause part sur les mêmes bases que la première mi-temps : l'OM domine, sans éblouir, des rémois qui ne déméritent pas mais ne sont clairement pas au niveau.
La supériorité marseillaise est logiquement et enfin récompensée peu avant l'heure de jeu par Michy, qui soigne ses statistiques et, avec 17 buts, accroche la quatrième place au rang des meilleurs buteurs de L1, à égalité avec Hatem Ben Harfa et deux petites unités d'Edinson Cavani.
OM 1-0 SdR (57ème)
Malgré de belles occasions franches de la part de l'OM et un total de 21 tirs, le score en restera là, avec notamment deux buts refusés à Michy pour un contrôle estimé irrégulier (65ème) et une situation de hors-jeu d'ailleurs très limite (90 + 1).
Dans les dernières minutes, le Stade de Reims, qui connaît peut-être à présent le résultat de Toulouse, qui signifie presque à coup-sûr la relégation, se montre plus offensif. mais le réveil survient trop tard, l'OM peut souffler... un peu trop tôt au goût de Nicolas Rainville qui biscotte Steve Mandanda pour gain de temps (89ème).
Un cadeau d'adieu, en quelques sortes, pour El Fenomeno qui, pour son dernier match au stade vélodrome, conserve ses cages inviolées.
Avec cette victoire, l'Olympique de Marseille ne peut plus espérer un meilleur classement que la neuvième place, qui dépendra évidemment aussi des résultats de ses adversaires lors de l'ultime journée de cette saison définitivement oubliable.
Reste un match pour s'inscrire dans la bonne dynamique avant d'aller affronter les parisiens à Saint Denis en finale de Coupe de France, sachons saisir cette dernière chance de ne pas tout perdre !
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